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| l'UFR de bobologie | |
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Auteur | Message |
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Cat Lord
Age : 51 Localisation : Osco Manosco !
| Sujet: Re: l'UFR de bobologie Ven 30 Jan 2015 - 10:05 | |
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| | | Sarges
| Sujet: Re: l'UFR de bobologie Ven 30 Jan 2015 - 13:16 | |
| - Cat Lord a écrit:
- Ah oui quand même:
https://fr.screen.yahoo.com/videos-buzz/effet-des-ondes-dun-portable-094416324.html
Un portable en émission, ça crache bien...
Cat 2W au maximum. Moins d'energie qu'une ampoule basse consommation... C'est sur que si ton cerveau etait constitue de poudre magnetique ca serait rigolo. Mais etant essentiellement constitue surtout d'eau, de carbonne et d'oxygene, c'est tout de suite moins impressionnant. |
| | | Cat Lord
Age : 51 Localisation : Osco Manosco !
| Sujet: Re: l'UFR de bobologie Ven 30 Jan 2015 - 14:37 | |
| Oui, mais si j'allume une ampoule à côté de la magnétite, je pense qu'il ne se passe pas grand chose... Cat |
| | | Sarges
| Sujet: Re: l'UFR de bobologie Ven 30 Jan 2015 - 15:26 | |
| - Cat Lord a écrit:
- Oui, mais si j'allume une ampoule à côté de la magnétite, je pense qu'il ne se passe pas grand chose...
Cat Prends du chlrorure d'argent et regarde si allumer l'ampoule lui fait du bien Ou mouille du sodium pour rigoler. Forcement pour tout type d'energie, on trouve des elements receptifs qui reagissent. Doit on pour autant lancer des videos alarmistes, je suis pas certain. |
| | | Cat Lord
Age : 51 Localisation : Osco Manosco !
| Sujet: Re: l'UFR de bobologie Ven 30 Jan 2015 - 15:40 | |
| C'est pas la vidéo qui est alarmiste, c'est mon interprétation de la vidéo. La vidéo se veut juste rigolote. Cat |
| | | Toub
Age : 60 Localisation : méchoui sur Loire
| Sujet: Re: l'UFR de bobologie Ven 30 Jan 2015 - 15:44 | |
| - Sarges a écrit:
Mais etant essentiellement constitue surtout d'eau, de carbonne et d'oxygene, c'est tout de suite moins impressionnant. Le fer représente 0.005 % du poids corporel. _________________ Free your mind ... your ass will follow
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| | | Cat Lord
Age : 51 Localisation : Osco Manosco !
| Sujet: Re: l'UFR de bobologie Ven 30 Jan 2015 - 15:45 | |
| Après, si vous aimez que les noyaux ferreux de vos globules rouges chauffent au niveau de votre cerveau, hein... Cat |
| | | Toub
Age : 60 Localisation : méchoui sur Loire
| Sujet: Re: l'UFR de bobologie Ven 30 Jan 2015 - 16:01 | |
| Ah mais je ne dis pas que c'est pas grave ; on peut être empoisonné par quelques microgrammes de certains poisons. Mais bon, les globules rouges ont déjà pas mal de mouvement comme ça et la grosse réserve en fer (le foie) doit pouvoir bouger un petit peu sans trop de dommage. _________________ Free your mind ... your ass will follow
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| | | Toub
Age : 60 Localisation : méchoui sur Loire
| Sujet: Re: l'UFR de bobologie Mer 4 Fév 2015 - 9:52 | |
| On a vu hier notre prestataire de service pour le télépaiement des consultations, qui venait mettre à jour notre système (celui qui permet de télétransmettre avec la carte vitale). On a fait le point, notamment parce que nous n'arrivons pas à faire le tiers payant pour certaines catégories d'ayant droit (handicapés, maladie de longue durée).
Sa réponse : "ah ben non, nous ne pouvons pas faire ça"
Bien sur le prestataire est accrédité et recommandé par la CPAM. _________________ Free your mind ... your ass will follow
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| | | Toub
Age : 60 Localisation : méchoui sur Loire
| Sujet: Re: l'UFR de bobologie Jeu 5 Fév 2015 - 13:44 | |
| Comme le dit le président de notre directoire (et néanmoins estimé collègue) : "pour une fois, ce n'est pas nous qui le disons" - Pr D Raoult (Marseille) dans le Point a écrit:
- N° 2213
jeudi 5 au mercredi 11 février 2015 Page 14 588 mots
Vignette de la page 1 Vignette de la page 14
ÉDITORIAUX L'hôpital, ce malade qui ne se soigne pas Gestion financière calamiteuse, fuite des compétences, recherche en berne… Le malaise est profond.
Nos hôpitaux universitaires sont censés être le fleuron de la médecine française, voire mondiale. Pour ce faire et attirer les meilleurs éléments, beaucoup d'avantages leurs sont conférés. Le coût d'une opération ou d'un soin est payé, par la Sécurité sociale, 30 % plus cher qu'en hospitalisation privée. Les professeurs bénéficient d'un salaire universitaire et d'émoluments hospitaliers qui peuvent doubler leur salaire. Ils ont aussi droit aux dépassements d'honoraires et peuvent pratiquer une activité médicale privée. Les hôpitaux publics profitent en outre d'un surcroît de budget de 15 % pour leurs activités de recherche, de formation et d'innovation. Tout cela devrait permettre un rayonnement et une efficacité remarquables. En pratique, ce n'est plusle cas, la plupart sont très endettés.
Le secteur hospitalier public de Marseille, où j'exerce, est le pire de tous : la dette y dépasse 1 milliard d'euros - avec des emprunts toxiques - pour 1,2 milliard de recettes annuelles, et l'hôpital est sous perfusion. La gestion des grands hôpitaux universitaires a été calamiteuse mais jamais sanctionnée. Le coût de construction est 30 % plus élevé que dans le privé (selon l'Union nationale des économistes de la construction). Le nombre de personnel par lit est quatre fois plus important dans les hôpitaux publics, sans qu'il y ait d'ailleurs plus de médecins, car ce sont les administratifs - en général issus de formations courtes et non spécialisées - et le personnel peu qualifié qui sont les plus nombreux ( « Comment évaluer la productivité et l'efficacité des hôpitaux publics et privés ? », in« Economie et statistique », 2012). Enfin, l'argent consacré à la recherche diminue chaque année. Il est d'ailleurs étonnant que les hôpitaux ne respectent pas la volonté du législateur en utilisant l'argent de la recherche pour… combler les déficits et que la Cour des comptes ne s'en soit pas mêlée. Côté privé, le niveaud'équipement des hôpitaux est souvent meilleur et les soins, comme le montrent les études annuelles du Point, sont fréquemment aussi bons, malgré un moindre financement. Le malaise est profond chez les médecins de l'hôpital public. En un an, cinq universitaires parmi les meilleurs ont quitté l'hôpital de Marseille, lassés par la lenteur des décisions et par l'inefficacité générale. Ils n'ont eu aucun mal à être recrutés à l'étranger : Angleterre, Suisse, Canada, Etats-Unis. Le problème n'est pas l'argent, mais les conditions de travail et le gouffre qui s'est creusé entre la reconnaissance des malades et des collègues étrangers par rapport à celle des administrations locales. L'hôpital universitaire n'a pas vocation à être une « démocratie médicale », mais un lieu d'excellence qui doit former et inspirer les plus jeunes, récompenser les médecins les plus efficaces, innover en permanence et avoir des plans stratégiques pour améliorer la qualité. Sans une réflexion et un changement de fond, l'hôpital public ne peut que continuer à se déliter _________________ Free your mind ... your ass will follow
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| | | el_slapper
Age : 48 Localisation : Dans un Q400, entre Paris et Montpellier
| Sujet: Re: l'UFR de bobologie Jeu 5 Fév 2015 - 16:12 | |
| Mais pour payer du logiciel digne de ce nom(et qui fait faire des économies d'échelle), y'a plus personne. |
| | | Cat Lord
Age : 51 Localisation : Osco Manosco !
| | | | Toub
Age : 60 Localisation : méchoui sur Loire
| Sujet: Re: l'UFR de bobologie Ven 6 Fév 2015 - 10:52 | |
| Place aux blancs-becs (au bloc opératoire, pas ici). Age de la retraite des médecins : 67 ans aujourd'hui, prévu pour plus tard demain.
Le chirurgien, devenu vieux
Ferdinand Sauerbruch (1875-1951) fut l'un des plus grands chirurgiens mondiaux (chirurgie gastrique, et thoracique en particulier). Il attira des étudiants de toute l'Europe et fut le maître de Nissen. Toutefois, lors de la 2ème guerre mondiale et après, ses collègues remarquèrent une détérioration de son humeur, il donnait des coups de bistouri à ses assistants, tandis qu'il multipliait les maladresses techniques et brutalisait (aussi) les tissus et les vaisseaux. La faculté de Berlin, où il exerçait, ne réagit pas et Sauerbruch refusa sèchement de prendre la retraite que ses amis lui suggéraient et ne l'accepta qu'à 74 ans, en 1949, après plusieurs drames chirurgicaux, pour éviter une humiliante révocation. Peu perspicace, il continua d'opérer chez lui, au grand dam de ses malades.
Soixante ans après sa mort, nombreuses sont les anecdotes prouvant que la carrière du chirurgien n'est pas indéfinie. Mais des études scientifiques ont aussi démontré que la mortalité en chirurgie coronarienne, carotidienne ou pancréatique s'accroît à partir d'un certain âge du chirurgien, de même que le taux des récidives après herniorraphie. Même si une minorité de chirurgiens est concernée, le problème existe et l'on a vu des panseuses en larmes implorer les autorités administratives de « stopper » un chirurgien vieillissant (CV). Ceci est d'autant plus vrai que ceux-ci n'ont pas conscience de leur affaiblissement.
Des ans, l'irréparable outrage…
On considère qu'aux États-Unis, près de 20 000 chirurgiens continuent à exercer leur art après 70 ans, et cependant, comme chez tous les autres humains, leurs facultés sensorielles (vue et ouïe) décroissent, de même que leurs capacités de raisonnement et leur mémoire, et « l'expérience » ne contrebalance pas ces dégradations.
Même si les chirurgiens ont de meilleures réactions psychomotrices au 3ème âge que la population générale, ils n'en subissent pas moins « des ans l'irréparable outrage ».
La mise à la retraite obligatoire à 65 ans, pratiquée dans les hôpitaux français, ne s'applique pas à l'exercice privé, non plus qu'à de nombreux pays. Elle a même été déclarée illégale aux États-Unis (1967) du fait de la grande variation des capacités des individus à un âge donné, encore qu'elle existe à 65 ans pour les pilotes de ligne, et même à 55 ans pour les gardiens de phare.
De fait, on a constaté que seuls 7 % des chirurgiens âgés opèrent significativement moins bien que leurs collègues plus jeunes, ce qui a fait conclure « que l'âge seul n'est pas prédictif de la performance cognitive », et, d'ailleurs, certaines causes de détérioration sont curables (problèmes de vision, apnée du sommeil, etc.)
L'une des méthodes pour lutter contre le danger des dégâts des années serait une auto-police des chirurgiens par le biais de certificats de requalification, mais ceux-ci, pratiqués à l'intérieur des centres hospitaliers, échouent le plus souvent à éliminer les « canards boiteux » âgés.
En effet, l'indéniable respect porté à des maîtres naguère brillants, qui ont apporté la renommée à l'hôpital où ils continuent d'exercer, et le fait qu'ils soient consultés pour donner un avis dans des cas délicats, pour aider une infirmière ou un anesthésiste, empêchent le plus souvent de les pousser vers la sortie, et ce n'est souvent qu'un décès ou un évènement grave qui oblige à prendre une difficile décision. Curieusement, alors que certains États (Illinois et New-Hampshire) exigent de repasser le permis de conduire à 75 ans, rien de tel n'est demandé pour le permis d'opérer.
C'est pourquoi les auteurs plaident pour un examen de 2 jours, obligatoire, objectif, confidentiel, et multidisciplinaire, évaluant de manière neutre et non biaisée les fonctions physiques et cognitives du CV.
Repasser le permis d'opérer ?
Un tel programme a été établi en 2014 à Baltimore avec comme ambition de protéger le malade contre un CV dangereux et de protéger le CV contre le risque de responsabilité tout en le mettant en capacité de traiter des désordres réversibles. Il se base sur les antécédents du CV, son examen neurologique complet (avec imagerie par résonance magnétique du cerveau), l'étude de son temps de réaction à un évènement imprévu, de son appréciation des distances, de sa coordination, de son acuité visuelle, de son habileté dans des mouvements de précision mais aussi de sa capacité de concentration, de sa mémoire immédiate, de son statut émotionnel, suivi par un examen neuropsychologique, de la médecine physique et un bilan de son champ visuel.
Le rapport sur ce programme est envoyé au CV lui-même, mais aussi à l'organisme qui l'a demandé et payé, et c'est à ce dernier, muni de cet examen objectif, de prendre la décision finale de maintenir le CV en exercice ou de le renvoyer.
La vieillesse est un naufrage, même pour les chirurgiens, mais les variations individuelles sont considérables. Les décisions sur la compétence d'un chirurgien doivent être fondées sur son âge fonctionnel et non sur son âge organique, ce qui plaide contre un âge de retraite obligatoire uniforme (l'égalité est un leurre) et pour une évaluation objective de cet âge fonctionnel, seul capable de combiner la sécurité due aux patients et la dignité d'un praticien donné. Le programme de Baltimore est une démarche en ce sens, sachant que tant le chirurgien que la société méritent une telle évaluation.
Le lion, terreur des forêts, Chargé d'ans et pleurant son antique prouesse, Enfin fut attaqué par ses propres sujets, Devenus forts par sa faiblesse.
Références
Katlic MR et Coleman J : The aging surgeon Ann Surgery, 2014; 260: 199-201. _________________ Free your mind ... your ass will follow
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| | | Toub
Age : 60 Localisation : méchoui sur Loire
| Sujet: Re: l'UFR de bobologie Mar 10 Fév 2015 - 10:10 | |
| _________________ Free your mind ... your ass will follow
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| | | boultan Admin
Age : 49 Localisation : Paris/Montreuil
| Sujet: Re: l'UFR de bobologie Ven 6 Mar 2015 - 9:22 | |
| Après les kiwis, les légumineuses et tout un paquet de pollens, il semble que junior soit aussi allergique à la péniciline. Je crois qu'il va finir comme ma mère, avec non pas une liste de médocs qu'il ne supporte pas, mais juste la liste des trucs qu'il supporte... |
| | | Nabulio
Age : 42
| Sujet: Re: l'UFR de bobologie Jeu 7 Juin 2018 - 7:33 | |
| J'espère ne jamais être un junky en désintox... Depuis une semaine j'ai arrêté un traitement au long cours et le phénomène de sevrage est d'une intensité que je n'aurai pas cru, cette semaine j'ai dû assurer seulement la moitié de mes cours contraint de rentrer penaud après une ou deux heures devant élèves à cause des milles effets secondaires qui m'empêchent de conduire sereinement un cours... |
| | | Pero Coveilha Uni-Mod
Age : 47 Localisation : soupçonnée
| Sujet: Re: l'UFR de bobologie Jeu 7 Juin 2018 - 9:39 | |
| Puisque tu en parles ici, j'espère que les questions ne sont pas indiscrètes : c'était un traitement pour quoi? Tu as consulté depuis le début du sevrage? Tu as arrêté d'un coup ou il y a eu une progressive cessation de la prise du traitement? _________________ "Politicians love activity : that's their substitute for achievement", Sir Humphrey, Yes Minister
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| | | Nabulio
Age : 42
| Sujet: Re: l'UFR de bobologie Jeu 7 Juin 2018 - 10:32 | |
| C'était un traitement que j'avais depuis presque deux ans pour dépression, je suis passé par 15 jours à demi-dose avant d’arrêter définitivement. Pour le moment je n'ai pas contacté mon médecin, j'espère que les effets vont s'estomper durant les jours à venir, si ce n'est pas le cas, j'aviserai.
Dernière édition par Nabulio le Jeu 7 Juin 2018 - 11:00, édité 1 fois |
| | | Pero Coveilha Uni-Mod
Age : 47 Localisation : soupçonnée
| Sujet: Re: l'UFR de bobologie Jeu 7 Juin 2018 - 10:39 | |
| La décélération de la prise avait été faite en accord avec le médecin prescrivant? Ca me semble rapide pour le type de traitement. _________________ "Politicians love activity : that's their substitute for achievement", Sir Humphrey, Yes Minister
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| | | Keyser Pacha
Age : 46 Localisation : Pleine tête !
| Sujet: Re: l'UFR de bobologie Jeu 7 Juin 2018 - 10:52 | |
| Surtout vu la durée du traitement. |
| | | Nabulio
Age : 42
| Sujet: Re: l'UFR de bobologie Jeu 7 Juin 2018 - 10:57 | |
| Oui, je suis procédurier, donc j'ai suivi la prescription de mon médecin |
| | | Pero Coveilha Uni-Mod
Age : 47 Localisation : soupçonnée
| Sujet: Re: l'UFR de bobologie Jeu 7 Juin 2018 - 11:29 | |
| Espérons pour ton médecin que tu ne sois pas procédurier dans le sens légal du terme. C'est un médecin généraliste ou un psychiatre? J'avais cru comprendre qu'en général pour ce type de traitement, il était recommandé de baisser les doses, puis d'alterner les jours de prise (diminuées) et ceux d'abstinence. Après c'est pertinent peut-être pour les traitements plus longs et/ou lourds, mais vu les effets indésirables que ça a pour toi, il semble que ça n'aurait pas été inutile. C'est là, entre autres, que Toub nous manque _________________ "Politicians love activity : that's their substitute for achievement", Sir Humphrey, Yes Minister
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| | | Cat Lord
Age : 51 Localisation : Osco Manosco !
| Sujet: Re: l'UFR de bobologie Dim 30 Avr 2023 - 12:28 | |
| Je pense que je fais ma première crise de goutte à 50 ans, et ben je peux vous dire que c'est comme décris dans la littérature: "On déguste"... Cat |
| | | Cat Lord
Age : 51 Localisation : Osco Manosco !
| Sujet: Re: l'UFR de bobologie Dim 7 Jan 2024 - 14:57 | |
| Punaise, je rejoins une fois de plus la cohorte des vieux qui ont "mal au dos". J'ai rien fait de particulier, mais depuis hier matin, je soufre le martyr sur certains gestes anodins (vaguement se tourner, placer la jambe un peu de travers), mais surtout pour s’asseoir, en position assise, ou pour se relever. Mais rester debout d'aide pas non plus. C'est hyper fatigant. J' ai pris 400 mg d'ibuprofène hier, rebelote aujourd'hui. J'ai 4 jours de présentiel la semaine qui vient, avec les trajets en voiture à faire, je crains un peu. Ironie, j'ai RdV avec la médecine du travail pour ma visite médicale Mardi matin... Cat |
| | | viper37
Age : 50 Localisation : ici
| Sujet: Re: l'UFR de bobologie Dim 7 Jan 2024 - 17:29 | |
| - Cat Lord a écrit:
- Punaise, je rejoins une fois de plus la cohorte des vieux qui ont "mal au dos".
J'ai rien fait de particulier, mais depuis hier matin, je soufre le martyr sur certains gestes anodins (vaguement se tourner, placer la jambe un peu de travers), mais surtout pour s’asseoir, en position assise, ou pour se relever. Mais rester debout d'aide pas non plus.
C'est hyper fatigant. J' ai pris 400 mg d'ibuprofène hier, rebelote aujourd'hui. J'ai 4 jours de présentiel la semaine qui vient, avec les trajets en voiture à faire, je crains un peu.
Ironie, j'ai RdV avec la médecine du travail pour ma visite médicale Mardi matin...
Cat Mauvaise position devant l'ordinateur? |
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| Sujet: Re: l'UFR de bobologie | |
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