Préhistoire, du paléolithique aux premiers âges des métaux

Hildoceras a écrit:

capitaine Fracasse a écrit:

Et évidemment, outre l'amande, les dommages et intérêts pour la destruction de ces biens inestimables.

l'amande, l'amande, à la limite la noisette.
la DRAC elle même n'est même pas sûr qu'il y ait quelque chose avec un possible doute sur quatre pierres sur trente neuf. Après, à voir si les permis ont été lancés correctement ou pas et si le maire avait un intérêt ou pas.

et comme prévu, c'était du pipeau

https://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/morbihan/lorient/carnac-39-menhirs-detruits-la-fausse-accusation-retour-sur-un-emballement-mediatique-2793470.html

Hildoceras a écrit:

et comme prévu, c'était du pipeau

Je trouve ton commentaire extrêmement malhonnête : le contenu des articles est conforme aux faits.
La photographie d'illustration communément reprise n'était en revanche pas celle du site dévasté.

Je rappelle les faits :
Le site de quatre dizaines de monolithes vieux de plusieurs milliers d'années était repéré par l'Institut national de recherches archéologiques préventives en 2015.
Une demande de fouilles avait été prescrite sur les 2 000 m² de la parcelle appartenant aux SCI des Menhirs et SAS Bricodolmen.

La Direction bretonne des affaires culturelles prétend que "l'atteinte à un site ayant une valeur archéologique n'est pas établie" [sic]... Oui, évidemment : pour l'établir il eût fallu que les fouilles soient effectuées. Or le site fut ravagé par Mr Bricolage, avec la bénédiction du maire, avant que ces fouilles ne puissent être organisées.

Par ailleurs, une enquête est à présent diligentée par le ministère public, les responsabilités devraient donc pouvoir être établies...
https://www.lemonde.fr/politique/article/2023/06/16/destruction-des-menhirs-a-carnac-une-enquete-ouverte-par-le-parquet-de-lorient_6177926_823448.html

il n'y avait pas quatre dizaines de monolithes. Des monolithes assemblés en muret sont un muret.
Des quatre dizaines de roches, quatre unités étaient susceptibles, sans garanties, d'être in situ.
Qu'on enquête sur les permis et la légalité de l'installation mais sur l'atteinte à la préhistoire, il n'y a rien.

Je n'ai pas accès à l'entièreté de l'article, mais ça a l'air intéressant :
https://www.lemonde.fr/sciences/article/2023/09/20/decouverte-historique-de-la-plus-ancienne-structure-en-bois-vieille-de-476-000-ans_6190201_1650684.html

quelques vidéos du site où ils ont fait leur recherche
https://www.liverpool.ac.uk/archaeology-classics-and-egyptology/research/projects/deep-roots/