EVROPA VNIVERSALIS IV

bwyb a écrit:

EU IV permet beaucoup moins bien que les versions précédentes de balader l'IA pour gagner des guerres désespérées à un contre trois.

En ayant des territoires insulaires, tu fait courir l'horloge (le RR gonfle chez l'adversaire) et c'est possible (il faut une marine potable en revanche pour empêcher les traversées de détroit et taper les débarquements).

Pas de mod pour ça, cela impliquerait de changer complétement les mécaniques de combats qui sont, je crois, hardcodés.

Que les batailles durent un mois ou presque, permettant à une armée située à plusieurs centaines de km de s'y mêler, ça me paraît absurde, et je ne comprends pas que ce soit maintenu après toutes ces mises à jour. Exemple: je coince une armée autrichienne à Calais, et celle qui se trouve en Alsace à le temps de venir la sauver avant même que la bataille soit finie. C'est n'importe quoi.

Je connais les paramètres d'une bataille, mais ça, ça me gâche vraiment le plaisir, ça devient du bourrinage.

Merci pour les réponses. :)

L'IA cherche la bataille décisive en priorité et calcule plus vite que nous le temps qu'il lui faudra pour traverser trois provinces. L'IA abandonnera un siège, même bien avancé si elle a une grosse armée ennemie qu'elle peut écraser à portée. C'est bourrin mais efficace.
Par contre l'IA ne semble pas chercher du tout à nettoyer les petit régiments ennemis isolés comme le ferait un joueur humain. C'est la seule chose qui donne un peu d'air quand on joue un mineur, l'IA peu choisir de nous mépriser.

Oui, il y a même des stratégies utilisant cette caractéristique de l'IA.

Je suis aussi très circonspect face au phénomène des concentrations abusives, mais on s'y habitue et le fait est que cela donne un caractère clairement dangereux aux grandes puissances.
La stratégie gagnante est de jouer au même jeµ qu'elle : attirer l'attaque sur une position forte (pour avoir l'avantage d'être défenseur et de choisir son terrain), faire converger tout le monde puis dans l'idéal, la victoire obtenue, mener une poursuite impitoyable.
Tout se joue souvent sur une seule grosse bataille.
(maintenant il est clair que pour une simulation napoléonienne, c'est crédible, pour les guerres des XVIe-XVIIe, on y croit beaucoup moins... )

SP a écrit:

Oui, il y a même des stratégies utilisant cette caractéristique de l'IA.

Je suis aussi très circonspect face au phénomène des concentrations abusives, mais on s'y habitue et le fait est que cela donne un caractère clairement dangereux aux grandes puissances.
La stratégie gagnante est de jouer au même jeµ qu'elle : attirer l'attaque sur une position forte (pour avoir l'avantage d'être défenseur et de choisir son terrain), faire converger tout le monde puis dans l'idéal, la victoire obtenue, mener une poursuite impitoyable.
Tout se joue souvent sur une seule grosse bataille.
(maintenant il est clair que pour une simulation napoléonienne, c'est crédible, pour les guerres des XVIe-XVIIe, on y croit beaucoup moins... )

Et encore pour les batailles "révolution et empire" il fallait quand meme tenir un peu le terrain et donc diviser ses forces.

Si on joue un gros on s'en cogne des sièges et des provinces perdues, tout ce qui compte c'est effectivement de déclencher la bataille décisive en position favorable et balancer tout les armées qu'on a dans le chaudron.

Et j'oubliais les "stratégies" de déglingos quand on a la chance d'avoir sous son contrôle des détroits ou des îles et une flotte supérieure : on attire une ou plusieurs armées ennemies dans l'oubliette, on verrouille le détroit, et hop la, 50 000 ennemis coincés en Sicile, dans les Orcades ou à Gotland...
Je déteste faire ça, mais quand on s'est retrouvé à faire face en ironman à une alliance franco-turque incassable lâchant régulièrement 300 000 soldats dans la péninsule italienne, on a tendance à à mettre sa morale roleplay de côté...

Ça me rappelle, sur Vicky2, l'île de Jersey pour les Français.....

SP a écrit:

Et j'oubliais les "stratégies" de déglingos quand on a la chance d'avoir sous son contrôle des détroits ou des îles et une flotte supérieure : on attire une ou plusieurs armées ennemies dans l'oubliette, on verrouille le détroit, et hop la, 50 000 ennemis coincés en Sicile, dans les Orcades ou à Gotland...
Je déteste faire ça, mais quand on s'est retrouvé à faire face en ironman à une alliance franco-turque incassable lâchant régulièrement 300 000 soldats dans la péninsule italienne, on a tendance à à mettre sa morale roleplay de côté...

avec l'Espagne qui avait hérité de Naples, j'ai fait le contraire. Les français et leurs alliés occupaient toute l'Ibérie tandis que je me retranchais en Sicile.

Le roi d'Espagne aime tellement son pays qu'il le laisse en cadeau aux envahisseurs

SP a écrit:

Oui, il y a même des stratégies utilisant cette caractéristique de l'IA.

Je suis aussi très circonspect face au phénomène des concentrations abusives, mais on s'y habitue et le fait est que cela donne un caractère clairement dangereux aux grandes puissances.
La stratégie gagnante est de jouer au même jeµ qu'elle : attirer l'attaque sur une position forte (pour avoir l'avantage d'être défenseur et de choisir son terrain), faire converger tout le monde puis dans l'idéal, la victoire obtenue, mener une poursuite impitoyable.
Tout se joue souvent sur une seule grosse bataille.
(maintenant il est clair que pour une simulation napoléonienne, c'est crédible, pour les guerres des XVIe-XVIIe, on y croit beaucoup moins... )

Ce système de poursuite est largement brisé par les nouvelles forteresses, ce qui me parait absolument indispensable maintenant.

Je suis aussi assez content du nouveau système avec les forteresses qui bloquent le mouvement, et des provinces qui ne sont pas toutes fortifiées.

Je vois ça, c'est pas mal du tout en effet.
(bon par contre l'Ethiopie ça l'est moins ^^ )

J'ai lancé une partie pour voir hier soir et n'ai pas pigé le fonctionnement des forteresses. On peut aller sur certaines, pas d'autres, même moins fortes, pourquoi ?
Exemple en Livonie alliée à Riga en1450 : impossible d'aller sur Riga ou la capitale de Livonie, mais possible sur les deux provinces fortifiées elles aussi au nord et au sud de ladite capitale ??
Pour tenir u e province non fortifiée il faut laisser un régiment dessus sinon elle se libère toute seule, ou pas : comment est-ce géré ?

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